Moderne en hedendaagse kunst in Paris

À l’occasion du 40e anniversaire de l’ouvrage iconique de Richard Avedon, In the American West, la Fondation Henri Cartier-Bresson présente, en collaboration avec la Richard Avedon Foundation, une exposition exceptionnelle entièrement dédiée à cette série emblématique. Entre 1979 et 1984, à la demande de l’Amon Carter Museum of American Art de Fort Worth au Texas, Richard Avedon sillonne l’Ouest américain et photographie plus de 1,000 de ses habitants. Pendant cinq années, Avedon fait défiler, devant l’objectif de sa chambre photographique, mineurs, bouviers, forains, vendeurs et passants, parmi d’autres personnes à l’histoire riche, seuls ou en petits groupes, sur un fond blanc qui sublime leurs traits, leurs postures et leurs expressions. Il dresse ainsi un portrait saisissant de cette région et de ses résidents, à rebours des représentations traditionnelles et glorifications du mythe de l’Ouest américain. La grande force des 103 oeuvres qui composent la série finale et l’ouvrage du même nom font d’In the American West un moment charnière dans l’oeuvre d’Avedon et un jalon majeur dans l’histoire du portrait photographique. L’exposition de la Fondation Henri Cartier-Bresson du 30 avril au 12 octobre 2025 présente pour la toute première fois en Europe l’intégralité des images qui figurent dans l’ouvrage original. Invitant le public à découvrir l’ensemble mais aussi à suivre des étapes de sa production et de sa réception, la Fondation présente une sélection complète des tirages des graveurs ayant servi de référence pour l’exposition et pour l’impression du livre original de 1985 aux côtés de documents inédits : polaroids préparatoires, tirages tests annotés de la main du photographe, échanges épistolaires entre l’artiste et ses modèles. À l’occasion de cet anniversaire, Abrams, l’éditeur de l’ouvrage original, réédite le livre depuis longtemps épuisé.

Exposition Générale retrace quarante ans d’art contemporain à la Fondation Cartier à partir d’une collection façonnée au fil de sa programmation. En réactivant l’héritage architectural du nouveau lieu de la Fondation Cartier et son ouverture sur la ville, elle esquisse une encyclopédie alternative de l’art contemporain et inaugure, à travers son nouveau dispositif, une approche renouvelée à l’exposition.

3 jours de festival en partenariat avec le Festival d'Automne. Les artistes de cette 8ème édition s'intéressent tour à tour à l'histoire, à la mémoire et aux affects, pour faire surgir d'autres récits et mouvements. Ces artistes explorent nos relations sensorielles et politiques au monde, porté·es par l'urgence d'en archiver les traces.

À l'occasion de la Paris Design Week, Pli office présente DESIGN DISCO CLUB, une exposition qui met en lumière la nouvelle génération de designers et d'architectes qui redéfinissent la création contemporaine. Inspiré par l'énergie libre et vibrante du mouvement disco, DESIGN DISCO CLUB célèbre le design comme un espace d'émotions, de partage et de liberté. DESIGN DISCO CLUB est un manifeste de la jeune création à l'heure où nos systèmes cherchent un second souffle. Le disco offre un cadre propice pour repenser la relation entre les cadences industrielles et humaines. En réunissant les travaux d'une quarantaine de créateur·ices émergent·es, le projet s'intéresse à notre rapport au temps : ce temps qui conditionne nos rythmes de production, nos choix esthétiques, nos engagements.

3 jours de festival en partenariat avec le Festival d'Automne. Les artistes de cette 8ème édition s'intéressent tour à tour à l'histoire, à la mémoire et aux affects, pour faire surgir d'autres récits et mouvements. Ces artistes explorent nos relations sensorielles et politiques au monde, porté·es par l'urgence d'en archiver les traces.

À l'occasion de la Paris Design Week, Pli office présente DESIGN DISCO CLUB, une exposition qui met en lumière la nouvelle génération de designers et d'architectes qui redéfinissent la création contemporaine. Inspiré par l'énergie libre et vibrante du mouvement disco, DESIGN DISCO CLUB célèbre le design comme un espace d'émotions, de partage et de liberté. DESIGN DISCO CLUB est un manifeste de la jeune création à l'heure où nos systèmes cherchent un second souffle. Le disco offre un cadre propice pour repenser la relation entre les cadences industrielles et humaines. En réunissant les travaux d'une quarantaine de créateur·ices émergent·es, le projet s'intéresse à notre rapport au temps : ce temps qui conditionne nos rythmes de production, nos choix esthétiques, nos engagements.

À l'occasion de son exposition personnelle à Lafayette Anticipations, Meriem Bennani met en scène un orchestre d'un nouveau genre à la croisée d'une symphonie et d'un soulèvement, et transforme la Fondation en vaste caisse de résonance. Déployée sur toute la hauteur du bâtiment, l'installation sonore Sole Crushing réunit plus d'une centaine de tongs et de claquettes qui jouent une composition musicale. Rendues vivantes, les chaussures frappent de leurs semelles divers supports et créent ainsi un ensemble insolite de percussions. Meriem Bennani explore le vivre ensemble et la place de l'individu dans la collectivité. Tantôt en chœur, tantôt en solistes, à l'unisson ou en réponse les unes aux autres, ces tongs sans corps évoquent les individus d'une foule en mouvement, dans une manifestation, un stade ou une cérémonie de dakka marrakchia.

Dans sa prochaine exposition personnelle, Steffani Jemison propose de déchiffrer des augures. L'artiste états-unienne examine les phénomènes physiques et politiques qui nous immobilisent ou nous meuvent considérant notamment la pesanteur et la gravité comme des forces qui nous retiennent ou qui nous libèrent. Steffani Jemison présente au sein d'une installation une nouvelle sculpture, créée lors de sa résidence à Lafayette Anticipations, ainsi qu'une nouvelle vidéo explorant le mouvement et les instruments d'orientation. Elle croise des temporalités multiples et cartographie les enchevêtrements entre géographies de la violence et pratiques de libération.

Le grand public connaît aujourd'hui Jean-Jacques Henner (1829-1905) pour sa carrière et ses œuvres, maintenant identifiées et diffusées grâce aux travaux muséographiques menés au musée Henner, aux expositions temporaires et aux publications qui se sont développées depuis ces vingt dernières années. Mais derrière l'artiste se cache aussi un homme, un individu du XIXe siècle avec son histoire, sa personnalité et ses habitudes. A travers plusieurs objets lui ayant appartenu, ainsi que des photographies et des manuscrits, cette exposition invite le visiteur à se plonger dans l'intimité de Henner, à découvrir son quotidien et à mieux cerner les traits de caractère de ce personnage attachant.

Through counter-ritual gestures, Romina De Novellis — a performer, researcher, and anthropologist with Mediterranean roots, yet long based in Paris — disrupts the binary and patriarchal frameworks ingrained in contemporary thought. Architetture Terrone reimagines space — its geography and territory — within the context of a stigmatized culture, traditionally rooted in the land. The exhibition focuses on fragile and ephemeral structures that in the artist's performances become visual and cognitive tools for rethinking the South and the oppression of genders. By means of an eco-feminist perspective, Romina De Novellis advocates for a non-binary reimagining of space that fosters a free identity affirmation.

La rencontre avec Christian Berst s’inscrit dans un esprit de curiosité et d’audace partagées. Alors que la galerie fête ses vingt ans, elle ouvre ses portes à une aventure éditoriale de dix ans et vingt numéros de Profane. Le bridge devenant pour un mois un lieu de visibilité inédite pour des œuvres souvent confinées aux pages de la revue. Trois ensembles d’artistes – Aurél, Seanie Baron et les habitants de Crozant – nous offrent un voyage entre la sculpture, le travail du bois et l’art textile, liant chaque œuvre par une quête commune : celle de tisser des ponts entre les matières, les arts, et le temps. Une belle célébration de l’engagement et de la passion créative.

Il n’est pas rare que les gens confondent les termes d’art brut et d’art premier. J’y vois deux raisons principales : l’une liée aux qualificatifs brut et premier qui semblent signaler que nous sommes en présence de productions originelles, à l’état natif. La seconde liée au fait que ces arts induisent un décentrement du regard occidental, la prise en compte d’une altérité souveraine, qu’elle soit culturelle ou intime. L’art brut comme l’art premier ont en commun de se situer à la marge des normes et de l’académie. Bien que l’institutionnalisation de l’art premier ait près d’un siècle d’avance sur celle de l’art brut, les « ailleurs » que ces champs mettent en lumière nous obligent à élargir l’horizon de l’histoire de l’art et, par conséquent, à reconsidérer la définition même de l’art. Bien sûr, là où l’art premier témoigne de mythologies collectives - ce que souligne l’anonymat de ces artistes -, l’art brut rend visible des mythologies individuelles - ce qui est mis en relief par l’insularité de ces auteurs. Et s’il se peut que certaines parentés visibles ne soient que fortuites, les analogies formelles sont en revanche nombreuses qui trahissent un terreau commun, qui laissent deviner une source archétypique semblable. Les artistes du XXe siècle ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, collectionnant les uns comme les autres avec l’impression diffuse de revenir à un stade édénique de l’art. Il est en tout cas notable que l’art brut comme l’art premier paraissent procéder de la même quête de réponses aux grands enjeux existentiels. Ces créateurs attribuent à l’art le pouvoir « d’habiter le monde », de le réparer, de construire des passerelles vers l’inconnu, le surnaturel, le sublime. « Premiers » et « bruts » exaltent la notion de secret et de sacré, c’est pourquoi elles nous paraissent profondément habitées. Habitées par les esprits pour les uns et par leurs auteurs pour les autres. Les 20 ans de la galerie, plus qu’une occasion de célébrer, m’ont encouragé à vouloir confier ce commissariat à Daniel Klein et Antoine Frérot, deux très chers amis collectionneurs - en plus d’être des soutiens historiques de la galerie. L’un comme l’autre animés de la volonté de décloisonner les catégories, l’un comme l’autre nourrissant au sein même de leurs collections ces dialogues et ces confrontations comme des révélateurs édifiants auxquels je suis moi-même si attaché.

galerie frank elbaz is pleased to announce June - August, Mikael Lo Presti’s first solo exhibition with the gallery, opening on September 6. Lo Presti’s paintings draw on his engagement with art history, his family heritage, and visual cues that resonate with our shared contemporary experience. His work evokes...

Projet lauréat de la résidence sonore 2024 Jusqu'au 22 février 2026, découvrez Musika Automatika de Junior Mvunzi dans la...

Entre 1931 et 1933, la « mission ethnographique et linguistique Dakar-Djibouti »...

L'exposition met en lumière l'une des figures centrales des avant-­gardes...

La Boîte arts graphiques présente "Resident and Visitor", une série...

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne.

Beaucoup ont les yeux clos, la face plongée dans l’ombre ou nous tournent totalement le dos offrant, sans la moindre retenue, le reste de leur corps à nos regards. Dans le triptyque intitulé The Nature Poem(2025), tous les personnages présents nous ignorent : points de vue sur le haut des crânes, le dessous des mentons, les plantes de pieds, l’arrière des épaules, géométrie des membres entrecroisés qui reposent. Comme délivrés du souci de paraître, leur tête est ailleurs. Plus loin, sur d’autres toiles, elles seront même séparées du reste du corps. Les occasions d’envisager, au sens premier du terme, les figures de Laurent Proux sont rares.

La Fondation Le Corbusier présente à la Maison la Roche la première exposition personnelle de Liliane Tomasko à Paris. Dans L’angle organique, l’artiste dévoile une série inédite de peintures abstraites et gestuelles en résonance avec l’architecture moderniste de la maison La Roche conçue et construite en 1923 et 1925. Ses toiles, telles des cartographies de l’inconscient, traduisent des états intérieurs tout en entrant en dialogue avec la spatialité du lieu. Leur dynamique évoque pour l’artiste, l’idée corbuséenne de la promenade architecturale – une expérience sensorielle et

Sur ce clavier de couleurs, Théodore Strawinsky, le fils du célèbre compositeur, donne à entendre sa voix. Littéralement, puisque ses huiles, gouaches, aquarelles, pastels et autres dessins à la mine de plomb s’accompagnent de la transcription de deux enregistrements audio réalisés par le peintre dans les années 1980. S’ajoutent pour l’accompagner les voix de Marie Stravinsky, Sylvie Visinand et Luc-Régis Gilbert, acteurs et témoins de la première heure. Si la formule est de Le Corbusier, elle convient à l’expression de Strawinsky : entre gammes et arpèges, le clavier de couleurs donne à entendre les convergences et les affinités des deux artistes.

Deeply rooted in her activity as a shepherd and her flock of pedigree Lleyn sheep flock on her farm in Wexford, Orla Barry’s work offers a singular and comprehensive reflection on the living conditions of a rebellious, feminist 'Punk Bo-Peep', subverting the gendered stereotypes and patriarchal norms that shape the representations of the farming milieu, either idealized or silenced. The exhibition will feature a selection of works by Orla Barry, centred around the performative installation Spin Spin Scheherazade. Composed of various modules, including a podium, printed texts on panels, sculptures and audio recordings, Spin Spin Scheherazade will be activated at several moments by performer and long-time collaborator Einat Tuchman.

La galerie anne barrault est heureuse de présenter la première exposition personnelle d’Ibrahim Meïté Sikely. Né en 1996, Ibrahim Meité Sikely a été diplômé de la Villa Arson en 2022, et est actuellement étudiant en 5ème année à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Sa pratique artistique ne vise pas à archiver des histoires oubliées, mais elle tente plutôt d’écraser le réel en tendant vers une mythologie cosmique, basée sur la réminiscence. Ibrahim Meïté Sikely mêle fiction et réalisme, art classique et contemporain, créant des fables personnelles qui lui permettent d’interroger les déterminismes sociaux. Ses œuvres représentent des mondes imaginaires, où se rejouent et déjouent des rapports de forces et de pouvoirs. En se mettant en scène avec ses proches, par le biais de détournements, comme la figure du super-héros ou une iconographie de la peinture du XIXème, Ibrahim Meïté Sikely insuffle à son art une résonance autobiographique.

La galerie est heureuse de présenter Comment naissent les formes, la nouvelle exposition personnelle de Manoela Medeiros près de huit ans après son premier solo show en France. The gallery is pleased to present Comment naissent les formes [How forms emerge], the new solo exhibition by Manoela Medeiros, nearly eight years after her first solo show in France.

Let the darkness be a doorway brings together three works produced between 2024 and 2025. Together, they continue James Webb's exploration of the invisible, the sacred, and the nuclear. Knowing The Ways is an immersive sound installation created in the former R1 nuclear reactor beneath Stockholm. A choir performs five of the Virtues from Hildegard of Bingen's Ordo Virtutum (1151): Humility, Love, Fear of God, Mercy, and Hope. The voices rise and resonate through the site's underground architecture, captured by sixteen microphones. Six loudspeakers, mounted on scaffolding that appears to support the gallery, transmit these shifting echoes, enveloping visitors in a dialogue between spirituality and science, the subterranean and the celestial. The figure of Hildegard of Bingen reappears in The Tongue Is A Flame | The Flame Is A Tongue, a banner inspired by one of her mystical visions, as depicted in the Scivias manuscript (1151). Originally presented as a flag, a new version of this motif in banner form is shown. These visions—later interpreted as migraine auras—resonate with James Webb's own experience, as he also lives with these neurological phenomena. A poetic video work completes this triptych: a static shot of shimmering light on the surface of Tranbärssjön, an artificial lake created in the former Ranstad uranium mine in Sweden. The sun's reflections visually evoke the sparkles and distortions caused by a migraine aura—a subtle fusion of industrial memory, intimate biology, and altered perception.

On the occasion of the 80th anniversary of the atomic bombing of Nagasaki, James Webb presents his work Untitled (9th August), created in 2005 during his residency at CCA Kitakyushu, Japan. Deeply moved by his visit to the Nagasaki Atomic Bomb Museum, Webb was struck not so much by the objects on display as by the descriptive texts—mostly in Japanese, with a few translated into English. These fragments of narrative, both laconic and evocative, left a lasting impression on him. For this installation, Webb copied fifty of the English captions onto individual museum cards. This minimalist approach lends each description weight and gravity, allowing the surrounding emptiness to resonate with the absence—or spectral presence—of the vanished objects.

Galerie Richard présente la troisième exposition personnelle de Thomas ZITZWITZ sur l'espace Turenne du 11 octobre au 15 novembre 2025.

Galerie Richard présente la troisième exposition personnelle de Marc RENARD intitulée "Résurgence" sur l'espace St-Claude du 6 septembre au 4 octobre 2025.

Galerie Richard présente la septième exposition personnelle de David RYAN dans la 3e salle de l'espace Turenne du 11 octobre au 15 novembre 2025.

Through a triptych of works, 'Là où s’effondrent les dragons' composes a sensitive narrative between memory, science and fiction. By exploring the visible and invisible forms of the mountain, faithful to itself, Capucine Vever gives voice to threatened landscapes, forgotten telluric forces, and the legends that, for a long time, allowed humans to name the unknown. A project at the crossroads of geopoetics and the archaeology of the sensible, which invites us to think differently about disappearance and collapse – no longer as an end, but as an inevitable metamorphosis.

La constellation de Monsieur S n’est ni une exposition sur les fantômes, ni une exposition sur la mort. Elle s’organise plutôt comme un kaléidoscope de présences ineffables. Elle explore ce qui, dans notre époque, continue d’agir sans être pleinement nommé ou accepté. Il peut s’agir de la beauté fragile des ruines, d’un attachement nostalgique à des architectures imaginaires, ou encore de l’infinité du cosmos, cette terra incognita contemporaine vers laquelle tant de croyances projettent leurs esprits désincarnés. Mais il est aussi question des fantômes numériques, ces avatars sans corps mais non sans pouvoir, qui hantent les réseaux et les discours, parfois avec perfidie. Ou encore de ces morts silenciées, causées par les logiques du capitalisme tardif, et effacées par lui. La dernière salle, enfin, est consacrée aux rituels et au soin des corps, qu’ils soient morts, vivants voire les deux à la fois, comme autant de corps étrangers qui ne peuvent être expliqués malgré tous les efforts concertés par les sciences. La constellation de Monsieur S est une polyphonie de voix silencieuses, un carambolage d’absences passées, une sédimentation de signes discrets. Cette exposition est autant de possibilités pour Monsieur S d’exister, de se manifester, ou d’être vu, à condition de bien vouloir le chercher.

Exposition personnelle de Kourtney Roy intitulée 'La Touriste' présentée à l'Ancien Collège Mistral à Arles. L'exposition contient toutes les marques de fabrique de Roy que nous aimons et attendons : l'autoportrait, une approche cinématographique, sa palette colorée bien particulière, ainsi qu'une tension entre le clin d'œil spirituel et l'atmosphère sinistre, la convention et le bizarre, le chic et le toc. Nous découvrons aussi avec plaisir que les frontières entre la réalité et l'imaginaire sont brouillées.

Nous vous informons que notre espace situé au 17, rue des Filles du Calvaire sera fermé du 5 août au 1er septembre inclus. Nous serons ravis de vous retrouver à...

Nous vous informons que notre espace situé au 21, rue Chapon sera fermé du 12 août au 1er septembre inclus. Nous serons heureux de vous retrouver à partir du 2...

Solo exhibition by Frédérique Loutz titled 'Le rire n'est pas pur' (Laughter is not pure)

Group Show at Galerie Maria Lund

Exhibition by Pernille Pontoppidan Pedersen

Nouvel accrochage de groupe à la galerie, au 2, avenue Matignon. Valerio Adami, Vincent Beaurin, César, Robert Combas, Erró, Robert Indiana, Jacques Monory, Marlène Mocquet, Takashi Murakami, Julian Opie, Bernard Rancillac, Gérard Schlosser, Antonio Seguí, Valentin van der Meulen.

La Galerie Chantal Crousel a le plaisir d'accueillir la première exposition de Liza Lacroix à Paris, réunissant un nouvel ensemble d'œuvres conçues et produites en France.